Les Plis du Vent

Le Remue-Manège

Quand la poésie devient mécanique et que les enfants font tourner la Terre.

Cie Paréidolie

Durée : Plusieurs sessions de jeu à prévoir ensemble, étalées sur 5h.

Public : de 1 à 8 ans

prix : prix de cession à définir ensemble selon l’organisation de l’évènement

Construction: Brendan Duviard et Louisa Gesset-Hernandez,

Accompagnés en jeu de Yannick Flako, ou un.e autre invité.e surprise

Contact
pareidolie.et.cie@gmail.com

Un doux rodéo poétique actionné par les enfants

Ici, pas de moteur, pas d’électricité — juste de l’imagination en rotation. Le Remue-Manège est une bulle de poésie mécanique, une sculpture vivante où les enfants deviennent les véritables moteurs du rêve. Construit en bois, métal et textiles, ce drôle d’engin accueille cinq passagers à bord, pendant que cinq autres, costumés pour le voyage, actionnent la danse des éléments.

C’est un univers en mouvement : une montgolfière-culotte-nuage, une tortue d’eau pressée, une toupie qui file derrière un balai de sorcière Harley-Davidson… et tout ce petit monde tourne, flotte et rit au rythme des jambes et des rires d’enfants.

Créé par Louisa Gesset-Hernandez, costumière et créatrice d’univers textiles, et Brendan Duviard, constructeur et scénographe, le Remue-Manège est un objet d’art forain contemporain — à la fois spectacle, installation et expérience collective.

Comment ça tourne ?

On ne sait pas toujours. Peut-être grâce aux atomes d’hydroxydedemagie en recomposition dans le sillage extrastellaire du balai de la sorcière. Ou grâce à la télépropulsion météorologique de la culotte nuageuse suspendue à une montgolfière de fortune.

Et si, par hasard, la science tombe en panne, d’autres forces prennent le relais : la roue du balai (heureusement qu’il est en forme de Harley-Davidson), et surtout la paire de jambes de l’enfant qui sort de la culotte-nuage.

Car ce manège-là ne tourne que si les enfants bougent, rient et s’accordent. La culotte est suspendue à la montgolfière par des élastiques, donnant à celui ou celle qui la porte une démarche lunaire tout en rebonds. Deux éléments moteurs entraînent le mât central, auquel tout le reste est attaché. Le plancher, lui, reste fixe — parce qu’il faut bien un peu de terre pour que la poésie puisse tourner.

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